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+33 (0)3 21 216 216 Formulaire de contact500 emplois à terme, 300 millions d’euros d’investissement, une première pierre très médiatisée.
Mardi 7 juin, en France, trois lettres sont incontournables : LFB (Laboratoire français de Fractionnement et de Biotechnologies).
Explications dans le Pas-de-Calais, précisément à Bailleul-Sire-Berthoult sur le site Actiparc dans l’Arrageois. Il est 11 heures et le Président de la République en personne vient, truelle à la main, de lancer la construction d’un nouveau grand laboratoire public. Lequel, spécialisé dans la production de médicaments issus de sang et destinés à traiter des maladies graves et rares, deviendra en 2020 le fleuron de LFB, créé en 1994 et déjà présent sur trois sites dans l’hexagone (dont Lille).
A l’heure des discours, François Hollande n’a pas caché sa grande satisfaction : Ici, c’est un enjeu territorial et de santé publique, et aussi économique pour le pays. Cet investissement voulu par l’Etat, c’est une bonne nouvelle pour la France, l’industrie y a sa place.
Des propos que n’ont évidemment pas contredit les orateurs du jour : Christian Bechon, Président de LFB, Philippe Rapeneau, Président de la Communauté urbaine d’Arras, Xavier Bertrand, Président de la Région des Hauts de France et Michel Dagbert.
Le Président du Département du Pas-de-Calais a d’ailleurs rappelé tous les bienfaits de la politique volontariste de contractualisation
qui permet au Conseil départemental et aux Etablissements publics de coopération intercommunale (la Communauté urbaine d’Arras pour le cas précis) de porter des projets communs qui garantissent développement économique et développement social
. Qui collent à la feuille de route "Près de chez vous, proche de tous" où les solidarités humaines et territoriales vont de pair.
Rendez-vous en 2020 pour l’inauguration de ce qui se sera demain un laboratoire de très haute technologie en capacité de produire des médicaments à destination du monde entier.